CYRIL RAYMOND

BIOGRAPHIE

1 Cyril Raymond, est un artiste pluridisciplinaire aux créations protéiformes.

Ses sujets de prédilection sont : humanisme, transhumanisme, écologie, liberté d’expression, actualité, croyances, mémoire (souvenirs altérés), frontières…

Né en 1972 dans une famille artistique, il étudie tout d’abord le piano classique.Puis il choisit de s’orienter vers les arts graphiques, en intégrant une école d’illustration publicitaire.

Pendant plus de 20 ans, il évolue entre création en communication et spectacle vivant. Il produit alors des supports multimédia, des films ou du design d’espace.

Ainsi à partir de 2013, il enchaîne, les résidences ou les collaborations artistiques. A la fondation Vasarely il imagine avec Vincent Mignerot , une interface homme/machine permettant de voir des sons ou d’entendre les images et interagir entre eux.

Il est également invité au côte de Erik Truffaz et Ervin Aarset sur le projet « BROKEN » . Il est aussi invité par l’ensemble « Possible (s) 4tet » en tant que scénographe vidéo. D’autre part il collabore aussi au coté de l’illustrateur Benjamin Flao sur le spectacle « ATLANTIDE ».

Cyril participe à de nombreux hackathons, dont MUSEOMIX Arles. Il y  conçoit un dispositif scénographique immersif. Celui ci met le visiteur  dans la peau d’un habitant victime des inondations de 2003.

 

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En 2015, il fonde avec 2 codeurs créatifs et un designer, le collectif : « nøclic.nøscreen_ ». Ensemble, ils réaliseront plusieurs installations expérientielles intégrant : technologie led, vidéo mapping, électronique embarquée, mécanique et design de mobilier.

L’installation « Lueur d’espoir » permettra d’interagir avec près d’un millier de visiteurs. (Fête des lumières de Lyon).

Conquit par ces travaux, le diocèse de Lyon lui commande la création et la réalisation d’une oeuvre plastique et lumière monumentale. Il s’agit de “La porte de la Miséricorde”  (7m de haut)  du Sanctuaire Saint-Bonaventure.

Depuis 2018, Cyril RAYMOND se consacre à la production d’oeuvres artistiques utilisant des techniques mixtes (acrylique, collage, encre de chine, matériaux divers…) parfois augmentées virtuellement.
La vidéo n’étant jamais très loin, ses oeuvres audiovisuelles restent dans un univers abstrait ou inspiré par le design génératif. Tout ceci conditionné à un univers sonore singulier.

Et même lorsqu’il aborde une esthétique plus figurative, son process de réalisation se base sur une approche instinctive excluant le référent réel pour s’appuyer sur le ressenti, comme dans sa série : « portraits imaginaires » sortent de selfies émotionnels.